Sous les Pins restaurant La Couronne – Testée négativement en 2006 puis en 2008 (c’était mieux), la maison a été totalement repensée par les nouveaux proprios dans les codes d’une modernité reposante, salle et terrasse. Le problème est que si on s’en prend plein les mirettes en arrivant, on s’en prend plein le pif et la liquette: ça renifle l’huile de friture! Un accueil ennuyeux, d’emblée.

Niveau propositions, pas d’entrées sinon deux à partager (15€) mais quand on est seul, on ne partage pas. Et 12 plats à l’ardoise en comptant le plat du jour. Hébé. En même temps, il s’agit d’une cuisine simple dans l’ambition, j’aime plutôt ce qui ne pète pas plus haut. Idées qui filent dans tous les sens, pour plaire à tout le monde, sans réelle cohérence sinon le bœuf: tartare, entrecôte, côte, tataki et pavé (plat du jour). Le reste? Buddha bowl, linguines, burger, parillada de la mer, côte de cochon blanc… De 19€ à 23€ quand même sauf la côte de bœuf pour 2 vendue 55€. J’ai envie du pavé d’espadon au grilladin. J’apprécie ce poisson. Garnitures annoncées: riz et légumes. Le riz rond a attendu dans l’eau chaude, trop cuit. Bons légumes frais cuisinés simplement à la poêle. Et puis l’espadon, une belle tranche marquée au grill, rosée à cœur: très bien! Sauf que le steak est tellement salé… Encore un pavé d’espadon saumuré sous-vide Pacifique du Sud-Est, mal rincé et un peu filandreux de surcroit. Péripétie amusante: non annoncée au programme, on me livre avec une sauce aux cèpes, comme pour les entrecôtes. On n’arrête pas le progrès. Sert-on ici les entrecôtes de bœuf avec une sauce vierge? Bref! 12/20 pour être gentil. Et 23€, ce qui l’est moins. Séance rattrapage avec le dessert? Annoncé maison? Une tarte au citron meringuée qui présente bien, on lui donnerait le bon dieu sans son citron. Comme cerclée à l’emporte-pièce, une galette de pâte sablée molle au fond, appareil citronné gélifié trop sucré, meringue italienne convenable. Des groseilles sur le chapeau pour la déco. Ensemble aussi sucré que l’espadon était salé. C’est vous dire le glucose. La mise en scène avec chantilly en bouteille ne change rien au bilan. 6€ et 11/20 pour l’effort de présentation. Pas de tarifs des eaux, ni de tarif du café donnés. Mais choix de vins sympa.

Les curseurs du rapport qualité prix ne sont pas au rendez-vous, vraiment pas. Et même pas la vue mer pour vous endormir le sens critique. De vous planifier une virée gourmande m’aurait vraiment fait plaisir, mais faut pas m’en vouloir, ça sera pour une autre fois.

- Table testée par Le Bouche à Oreille - 2022 1.5/5★ Ψ
Adresse
103 avenue de la Gare
13500 LA COURONNE
Tél:04.42.41.43.23
Mobile:06.76.22.60.36
Réseaux Sociaux :
Accueil:
15/20
Service:
14,5/20
Qualité/prix:
11/20
Cadre:
16/20
Pain:
15/20
Café:pas pris
Thé:
Toilettes:
15/20
Vin:
Environnement:
Aux fourneaux
  • Chef : je sais pas
Spécialités
  • viandes de bœuf?
Menus
  • Formule 12,90€ midi semaine
  • Ardoise
Fermetures
  • Ouvert midi du mercredi au dimanche et le soir du jeudi au samedi
Plus…
  • Terrasse
  • Climatisation
  • Possibilité de chambres
  • Parking SNCF
Sur place et...
A emporter
Livraison
- Table testée par Le Bouche à Oreille - 2022 1.5/5★ Ψ
Adresse
103 avenue de la Gare
13500 LA COURONNE
Tél:04.42.41.43.23
Mobile:06.76.22.60.36
Réseaux Sociaux :
Accueil:
15/20
Service:
14,5/20
Qualité/prix:
11/20
Cadre:
16/20
Pain:
15/20
Café:pas pris
Thé:
Toilettes:
15/20
Vin:
Environnement:
Aux fourneaux
  • Chef : je sais pas
Spécialités
  • viandes de bœuf?
Menus
  • Formule 12,90€ midi semaine
  • Ardoise
Fermetures
  • Ouvert midi du mercredi au dimanche et le soir du jeudi au samedi
Plus…
  • Terrasse
  • Climatisation
  • Possibilité de chambres
  • Parking SNCF
Sur place et...
A emporter
Livraison

Sous les Pins restaurant La Couronne – Testée négativement en 2006 puis en 2008 (c’était mieux), la maison a été totalement repensée par les nouveaux proprios dans les codes d’une modernité reposante, salle et terrasse. Le problème est que si on s’en prend plein les mirettes en arrivant, on s’en prend plein le pif et la liquette: ça renifle l’huile de friture! Un accueil ennuyeux, d’emblée.

Niveau propositions, pas d’entrées sinon deux à partager (15€) mais quand on est seul, on ne partage pas. Et 12 plats à l’ardoise en comptant le plat du jour. Hébé. En même temps, il s’agit d’une cuisine simple dans l’ambition, j’aime plutôt ce qui ne pète pas plus haut. Idées qui filent dans tous les sens, pour plaire à tout le monde, sans réelle cohérence sinon le bœuf: tartare, entrecôte, côte, tataki et pavé (plat du jour). Le reste? Buddha bowl, linguines, burger, parillada de la mer, côte de cochon blanc… De 19€ à 23€ quand même sauf la côte de bœuf pour 2 vendue 55€. J’ai envie du pavé d’espadon au grilladin. J’apprécie ce poisson. Garnitures annoncées: riz et légumes. Le riz rond a attendu dans l’eau chaude, trop cuit. Bons légumes frais cuisinés simplement à la poêle. Et puis l’espadon, une belle tranche marquée au grill, rosée à cœur: très bien! Sauf que le steak est tellement salé… Encore un pavé d’espadon saumuré sous-vide Pacifique du Sud-Est, mal rincé et un peu filandreux de surcroit. Péripétie amusante: non annoncée au programme, on me livre avec une sauce aux cèpes, comme pour les entrecôtes. On n’arrête pas le progrès. Sert-on ici les entrecôtes de bœuf avec une sauce vierge? Bref! 12/20 pour être gentil. Et 23€, ce qui l’est moins. Séance rattrapage avec le dessert? Annoncé maison? Une tarte au citron meringuée qui présente bien, on lui donnerait le bon dieu sans son citron. Comme cerclée à l’emporte-pièce, une galette de pâte sablée molle au fond, appareil citronné gélifié trop sucré, meringue italienne convenable. Des groseilles sur le chapeau pour la déco. Ensemble aussi sucré que l’espadon était salé. C’est vous dire le glucose. La mise en scène avec chantilly en bouteille ne change rien au bilan. 6€ et 11/20 pour l’effort de présentation. Pas de tarifs des eaux, ni de tarif du café donnés. Mais choix de vins sympa.

Les curseurs du rapport qualité prix ne sont pas au rendez-vous, vraiment pas. Et même pas la vue mer pour vous endormir le sens critique. De vous planifier une virée gourmande m’aurait vraiment fait plaisir, mais faut pas m’en vouloir, ça sera pour une autre fois.