Sawa restaurant Toulon – Lui est derrière la poste centrale de Toulon depuis 2020 je crois. La direction est syrienne, propose de « faire voyager à travers des recettes traditionnelles syriennes, grecques et libanaises ». On ratisse large, on ne se fâche avec personne. En même temps, elles se ressemblent tant dans l’esprit toutes ces cuisines qui vous extirpent le temps d’un repas de notre quotidien grisailleux.
Entrées froides ou chaudes dès 5€, plats de 14€ (chiche taouk) à 15€ comme menshi: courgettes ou aubergines farcies. Et puis pour faire un rapide tour du propriétaire l’assiette mezze sawa à 14€ est bien pratique. Ce midi elle est proposée dans une formule ardoisée à 16,5€ avec dessert et café. L’occasion rêvée de se faire une idée. Sauf qu’une fois encore, on vous refile des trucs pas chers qui vous plâtrent l’estomac dans l’assiette, j’aurai dû mieux lire les intitulés avant de commander. Falafel pas fini, la semoule aride à la friteuse pour 8/20… le kebbe s’en tire mieux, en souplesse à 13/20. Le fatayer farci au fromage n’en fait pas trop à 13/20, je somnole devant le mtabbal, caviar d’aubergines pas assez citronné à 12/20, le hoummos est faiblard en sésame à 12/20. Taboulé persillé pour mâcher, 12/20. Vraiment rien de surprenant dans la gamelle. Faudrait que je tombe un de ces jours sur une assiette dégustation de cette cuisine avec des aubergines farcies et des feuilles de vignes faites maison, on peut rêver. Au lieu de ça, la quasi intégralité des libanais, syriens, arméniens, grecques pensent à faire du pas cher alors pois chiche et semoule à tous les étages. Alors qu’une assiette dégustation raffinée à 25€ est possible non? Pfffou.
Dessert unique possible avec le halaweh be-jebené, comme un mini roulé de génoise farci de brousse et mozza (?) arrosé de sucre miellé et de pistache concassée. Moins sucré que je ne le supposais: 14/20. A emporter possible, UberEats et Just Eat pour vous livrer en scooter, terrasse rue si affinités.
Sawa restaurant Toulon – Lui est derrière la poste centrale de Toulon depuis 2020 je crois. La direction est syrienne, propose de « faire voyager à travers des recettes traditionnelles syriennes, grecques et libanaises ». On ratisse large, on ne se fâche avec personne. En même temps, elles se ressemblent tant dans l’esprit toutes ces cuisines qui vous extirpent le temps d’un repas de notre quotidien grisailleux.
Entrées froides ou chaudes dès 5€, plats de 14€ (chiche taouk) à 15€ comme menshi: courgettes ou aubergines farcies. Et puis pour faire un rapide tour du propriétaire l’assiette mezze sawa à 14€ est bien pratique. Ce midi elle est proposée dans une formule ardoisée à 16,5€ avec dessert et café. L’occasion rêvée de se faire une idée. Sauf qu’une fois encore, on vous refile des trucs pas chers qui vous plâtrent l’estomac dans l’assiette, j’aurai dû mieux lire les intitulés avant de commander. Falafel pas fini, la semoule aride à la friteuse pour 8/20… le kebbe s’en tire mieux, en souplesse à 13/20. Le fatayer farci au fromage n’en fait pas trop à 13/20, je somnole devant le mtabbal, caviar d’aubergines pas assez citronné à 12/20, le hoummos est faiblard en sésame à 12/20. Taboulé persillé pour mâcher, 12/20. Vraiment rien de surprenant dans la gamelle. Faudrait que je tombe un de ces jours sur une assiette dégustation de cette cuisine avec des aubergines farcies et des feuilles de vignes faites maison, on peut rêver. Au lieu de ça, la quasi intégralité des libanais, syriens, arméniens, grecques pensent à faire du pas cher alors pois chiche et semoule à tous les étages. Alors qu’une assiette dégustation raffinée à 25€ est possible non? Pfffou.
Dessert unique possible avec le halaweh be-jebené, comme un mini roulé de génoise farci de brousse et mozza (?) arrosé de sucre miellé et de pistache concassée. Moins sucré que je ne le supposais: 14/20. A emporter possible, UberEats et Just Eat pour vous livrer en scooter, terrasse rue si affinités.