Saveurs d’Asie restaurant Fréjus – Sinon du dealer de hamburgers, lui seul pouvait m’accueillir pour manger à 13h50. Fidèle au genre dans une réputation d’amplitude d’ouverture maximale: un asiatique. Annoncé comme « restaurant » au frontispice, j’entre en confiance et je vois vite. Mi-restaurant sur place avec terrasse face à la mer et aux bagnoles, mi à emporter.
Une vitrine considérable gorgée de mets, disons une quarantaine mais je suis peut-être très loin du compte. Il en faut sacrément des clients pour que tourne le stock. Enfin bon. J’ai entamé avec un rouleau de printemps qui pouvait s’annoncer comme végétarien si la crevette n’avait pas troublé le jeu. Comme d’hab’: soja cru, vermicelle cuit, salade verte, menthe. Et 3 demies-crevette Arlette. 2,5€ et 11/20. Les nems porc sont trop gras, pissent l’huile quand on mord dedans. Le vermicelle est cotonneux. 8/20 et 1,1€ pièce. Le bobun au bœuf est servi avec un nem dont je viens d’expliquer la nature. J’aime beaucoup ce plat, en général. Le bol préalablement rempli attendait son heure en vitrine, comme le reste. Le patron réchauffe ce qui doit être réchauffé: lamelles de viande de bœuf duraille, vermicelle tiède. Le fond de sauce est bien. Carottes râpées, feuilles de salade verte, cacahuètes écrasées. Et un curieux gout de cannelle. Quelle idée. La cannelle, c’est comme la coriandre. Partout, ça gonfle dru. 11/20 et 6,9€ ce qui est convenable. Alors bon. Un asiatique tendance Chine appuyée loin de révolutionner le genre. J’apprends qu’il existe depuis une vingtaine d’années, ce qui peut expliquer les affiches de photos de plats intérieures ou extérieures jaunies par le temps et le soleil. M’enfin, ce stock de plats en quantité considérables en vitrine, fut-elle réfrigérée, n’est pas fait pour rassurer vue l’absence de clients mais passons. Comme on paye au bout du comptoir à la prise de commande comme au self, je fais remarquer au taulier qu’il m’a facturé 3 nems au lieu des 2 commandés. Plutôt que de me rembourser le 3ème, le loulou court m’en chercher un 3ème en rayon, le tout dans une avalanche d’excuses marmonnées qui t’empêche de demander un remboursement sans passer pour un pisse-froid.
Vas-y que j’t’embrouille ami client qui a pris la peine d’entrer dans mon humble demeure afin que tu te sustentes avec joie au pays du Céleste Empire. Enfin bon. Pour info, CB à partir de 10€. Et aucune personne de la famille du patron qui traverse ou s’assied dans la salle le temps de mon repas ne dit bonjour ni au revoir, ni madame, ni les enfants.
Saveurs d’Asie restaurant Fréjus – Sinon du dealer de hamburgers, lui seul pouvait m’accueillir pour manger à 13h50. Fidèle au genre dans une réputation d’amplitude d’ouverture maximale: un asiatique. Annoncé comme « restaurant » au frontispice, j’entre en confiance et je vois vite. Mi-restaurant sur place avec terrasse face à la mer et aux bagnoles, mi à emporter.
Une vitrine considérable gorgée de mets, disons une quarantaine mais je suis peut-être très loin du compte. Il en faut sacrément des clients pour que tourne le stock. Enfin bon. J’ai entamé avec un rouleau de printemps qui pouvait s’annoncer comme végétarien si la crevette n’avait pas troublé le jeu. Comme d’hab’: soja cru, vermicelle cuit, salade verte, menthe. Et 3 demies-crevette Arlette. 2,5€ et 11/20. Les nems porc sont trop gras, pissent l’huile quand on mord dedans. Le vermicelle est cotonneux. 8/20 et 1,1€ pièce. Le bobun au bœuf est servi avec un nem dont je viens d’expliquer la nature. J’aime beaucoup ce plat, en général. Le bol préalablement rempli attendait son heure en vitrine, comme le reste. Le patron réchauffe ce qui doit être réchauffé: lamelles de viande de bœuf duraille, vermicelle tiède. Le fond de sauce est bien. Carottes râpées, feuilles de salade verte, cacahuètes écrasées. Et un curieux gout de cannelle. Quelle idée. La cannelle, c’est comme la coriandre. Partout, ça gonfle dru. 11/20 et 6,9€ ce qui est convenable. Alors bon. Un asiatique tendance Chine appuyée loin de révolutionner le genre. J’apprends qu’il existe depuis une vingtaine d’années, ce qui peut expliquer les affiches de photos de plats intérieures ou extérieures jaunies par le temps et le soleil. M’enfin, ce stock de plats en quantité considérables en vitrine, fut-elle réfrigérée, n’est pas fait pour rassurer vue l’absence de clients mais passons. Comme on paye au bout du comptoir à la prise de commande comme au self, je fais remarquer au taulier qu’il m’a facturé 3 nems au lieu des 2 commandés. Plutôt que de me rembourser le 3ème, le loulou court m’en chercher un 3ème en rayon, le tout dans une avalanche d’excuses marmonnées qui t’empêche de demander un remboursement sans passer pour un pisse-froid.
Vas-y que j’t’embrouille ami client qui a pris la peine d’entrer dans mon humble demeure afin que tu te sustentes avec joie au pays du Céleste Empire. Enfin bon. Pour info, CB à partir de 10€. Et aucune personne de la famille du patron qui traverse ou s’assied dans la salle le temps de mon repas ne dit bonjour ni au revoir, ni madame, ni les enfants.