Le Jardin des Aires restaurant Cornillon-Confoux – Superbe village de vieilles pierres, il domine de sa hauteur le panorama. A l’époque (2 siècles avant JC!) voir l’ennemi arriver de loin sauvait parfois votre peau! L’inverse n’est pas vrai: le client affamé que je suis se prend une baffe qu’il n’a pas vu venir. Le monsieur au service est un peu éteint. Il m’installe dans la salle qui fait épicerie, pain, cartes postales, charcuterie à la coupe, huile d’olive etc. 18 places pour manger sans la terrasse qui doit faire des heureux aux beaux jours. L’autre monsieur semble être le patron, il fait la tronche, comme s’il en avait marre. Ni bonjour ni rien, je porte ma croix, foutez-moi la paix.
Une dame blonde cuisine, elle sort parfois en faisant de grands gestes au deux en salle en se planquant (mal) derrière un paravent, passe la tête comme une concierge d’immeuble, mais ne s’embête pas à venir saluer, elle non plus. Elle reviendra en rouscaillant discrètement (pas assez), ordonne puis pfffuit, repart en cuisine jusqu’à la prochaine fois. Entre eux, les trois se font une tronche de 6 pieds de long. On mange salade César 18€, andouillette panée 19,50€, burger 18,50€, cassolette saumon et St-Jacques 19,50€, fish & chips 17,50€ et une pintade sur canapé de foie gras à 23,50€. Déjà que la pintade est grasse… enfin bon. L’ambiance aidant, je ne sens aucun plat. Chacun a les caractéristiques d’une conception pas tellement rassurante. J’ai bien fait de ne pas le prendre, à voir chez un voisin le fish & chips tout prêt genre référence 54507 de Carigel avec ses frites marron foncé embaumer de sa friture la salle. Malgré le sachet de ketchup à la date de péremption dépassée de 3 mois (28/9/22), j’ai courageusement visé le plat du jour, des lasagnes de bœuf. Pourtant, jamais je ne prends de lasagnes au restaurant quand je ne connais pas la maison. Le risque semble payer: elles sentent plutôt bon. Belle portion, cuisinée avec bœuf haché, sauce tomate, champignons, oignons, crème… Avec, feuilles de salade verte fraiches (pas du sachet) mais polluées par une sauce blanche comme celle des kebabs. On n’a pas idée. 12/20 et 14,80€. Depuis tout à l’heure, la dame sera sortie 3 fois pour ronchonner sur ses collaborateurs de salle, toujours planquée. Hébé, belle ambiance de travail! Bref! Desserts? Des glaces, fondant chocolat et tarte tatin à 7€, iles flottantes et tarte citron meringué à 6,8€… Au serveur: les desserts sont faits ici? « aaaah voui môssieur, 99% des plats sont maison ». M’arrive la tarte au citron meringué pas du tout faite ici. De l’industriel flagrant hyper-glucosé, augmenté d’une meringue italienne très sucrée aussi. A peine touchée sous peine de procès de mon diabétologue, et ça n’émeut personne au service que je n’ai rien boulotté.
Tu parles, avec tous ces clients qu’on roule dans la farine depuis le temps, on ne relève plus les remarques et même, on ne baisse pas les yeux. 7/20 et 6,8€. A la caisse, la tarte au citron passe de 6,8€ à 7€. Ya pas de petit profit. Pas la peine d’en rajouter, bienvenue à pigeonland. Autrement dit, si vous avez quelque chose à faire ailleurs, faite-le.
Le Jardin des Aires restaurant Cornillon-Confoux – Superbe village de vieilles pierres, il domine de sa hauteur le panorama. A l’époque (2 siècles avant JC!) voir l’ennemi arriver de loin sauvait parfois votre peau! L’inverse n’est pas vrai: le client affamé que je suis se prend une baffe qu’il n’a pas vu venir. Le monsieur au service est un peu éteint. Il m’installe dans la salle qui fait épicerie, pain, cartes postales, charcuterie à la coupe, huile d’olive etc. 18 places pour manger sans la terrasse qui doit faire des heureux aux beaux jours. L’autre monsieur semble être le patron, il fait la tronche, comme s’il en avait marre. Ni bonjour ni rien, je porte ma croix, foutez-moi la paix.
Une dame blonde cuisine, elle sort parfois en faisant de grands gestes au deux en salle en se planquant (mal) derrière un paravent, passe la tête comme une concierge d’immeuble, mais ne s’embête pas à venir saluer, elle non plus. Elle reviendra en rouscaillant discrètement (pas assez), ordonne puis pfffuit, repart en cuisine jusqu’à la prochaine fois. Entre eux, les trois se font une tronche de 6 pieds de long. On mange salade César 18€, andouillette panée 19,50€, burger 18,50€, cassolette saumon et St-Jacques 19,50€, fish & chips 17,50€ et une pintade sur canapé de foie gras à 23,50€. Déjà que la pintade est grasse… enfin bon. L’ambiance aidant, je ne sens aucun plat. Chacun a les caractéristiques d’une conception pas tellement rassurante. J’ai bien fait de ne pas le prendre, à voir chez un voisin le fish & chips tout prêt genre référence 54507 de Carigel avec ses frites marron foncé embaumer de sa friture la salle. Malgré le sachet de ketchup à la date de péremption dépassée de 3 mois (28/9/22), j’ai courageusement visé le plat du jour, des lasagnes de bœuf. Pourtant, jamais je ne prends de lasagnes au restaurant quand je ne connais pas la maison. Le risque semble payer: elles sentent plutôt bon. Belle portion, cuisinée avec bœuf haché, sauce tomate, champignons, oignons, crème… Avec, feuilles de salade verte fraiches (pas du sachet) mais polluées par une sauce blanche comme celle des kebabs. On n’a pas idée. 12/20 et 14,80€. Depuis tout à l’heure, la dame sera sortie 3 fois pour ronchonner sur ses collaborateurs de salle, toujours planquée. Hébé, belle ambiance de travail! Bref! Desserts? Des glaces, fondant chocolat et tarte tatin à 7€, iles flottantes et tarte citron meringué à 6,8€… Au serveur: les desserts sont faits ici? « aaaah voui môssieur, 99% des plats sont maison ». M’arrive la tarte au citron meringué pas du tout faite ici. De l’industriel flagrant hyper-glucosé, augmenté d’une meringue italienne très sucrée aussi. A peine touchée sous peine de procès de mon diabétologue, et ça n’émeut personne au service que je n’ai rien boulotté.
Tu parles, avec tous ces clients qu’on roule dans la farine depuis le temps, on ne relève plus les remarques et même, on ne baisse pas les yeux. 7/20 et 6,8€. A la caisse, la tarte au citron passe de 6,8€ à 7€. Ya pas de petit profit. Pas la peine d’en rajouter, bienvenue à pigeonland. Autrement dit, si vous avez quelque chose à faire ailleurs, faite-le.