Le Bistrot de Riboux restaurant à Riboux – Facile à trouver: Riboux est au bout de tout. Village de 49 habitants à l’année (2019) sans compter les sangliers et les écureuils sur le versant sud du Parc Naturel Régional de la Sainte-Baume. L’échappatoire rêvée de ce terrible littoral où le confiné façon clapier à lapins tourne à la chape de plomb sur nos têtes déprimées. L’air et l’espace y sont si relaxants qu’on s’y sent majestueux. Vrai qu’il en faut peu à la royale Mauricette pour clopiner en talons-aiguille telle Marie-Antoinette entourée de ses moutons dans les jardins du Petit Trianon.
Bref! Depuis l’an passé, le superbe bâtiment concédé à Philippe Marco (ex La Grange au Beausset) par Madame la maire du village Suzanne Arnaud est le point idéal pour les randonneurs, les vététistes, touristes d’ailleurs ou autochtones d’ici. Visite de la Chapelle rénovée du Saint-Pilon ou pour le cinéphile l’occasion d’un coup d’œil sur le lieu de tournage des films de Claude Berri « Jean de Florette » et « Manon des Sources ». Ou pour ceux qui ont faim le Bistrot de Riboux. Bé oué. On est là pour ça. Maryvonne Santucci à l’accueil et au service. Suivant la saison chef Philippe Marco propose des entrées travaillées, des plats en sauce, du gibier, des pieds paquets. J’ai souvenir d’une mémorable « culotte d’agneau façon méchoui »: si elle vous passe devant, faudra pas la louper! Menu 26€ avec assiette végétale au filet de truite fumé. Poisson moins gras que le saumon, légumes en qualité qui ont joué de la mandoline, radis noir et concombre, mesclun frais et vinaigrette aux agrumes qui enchante. 14,5/20. Pour les appétits costauds comme celui de Mauricette, le poulet au curry fait l’affaire. Chair souple, sauce parfumée plus moutardée que crémée, tant mieux. 14/20. La mousse au chocolat fait le boulot à 13/20. Pour ma pomme, t-bone de veau sauce poivre finalement servie (on m’a prévenu) avec une sauce échalote. Je n’y perds pas au change et puis le gratin dauphinois est extra, bien assaisonné. Viande rosée positivement ferme. 22€ et 15/20. Magnifique assiette de fromage! « Belle comme la femme d’un autre » comme disait mon voisin dont on n’a jamais retrouvé le corps. Jolie taille du Conté, chèvre aux herbes de Provence, tome truffée et un Roquefort gras. Noix, confiture de figue, vas-y coco régale-toi la turbine! 8€ et 14,5/20 d’autant que le pain est bon. Terrasse panoramique sur le vert avec parfois des cerfs en hiver, salle au mobilier chiné de brocante avec coin salon et poêle à bois quand il fait froid. La maison dispense aussi un « accueil tourisme » avec épicerie, bar, possibilité de pétanque improvisée si vous avez les boules dans le coffre.
Rappliquez quand vous voulez mais téléphonez avant, c’est plus prudent. Car comme dit la dame au chapeau vert: « la virée vaut sacrément le voyage »!
Le Bistrot de Riboux restaurant à Riboux – Facile à trouver: Riboux est au bout de tout. Village de 49 habitants à l’année (2019) sans compter les sangliers et les écureuils sur le versant sud du Parc Naturel Régional de la Sainte-Baume. L’échappatoire rêvée de ce terrible littoral où le confiné façon clapier à lapins tourne à la chape de plomb sur nos têtes déprimées. L’air et l’espace y sont si relaxants qu’on s’y sent majestueux. Vrai qu’il en faut peu à la royale Mauricette pour clopiner en talons-aiguille telle Marie-Antoinette entourée de ses moutons dans les jardins du Petit Trianon.
Bref! Depuis l’an passé, le superbe bâtiment concédé à Philippe Marco (ex La Grange au Beausset) par Madame la maire du village Suzanne Arnaud est le point idéal pour les randonneurs, les vététistes, touristes d’ailleurs ou autochtones d’ici. Visite de la Chapelle rénovée du Saint-Pilon ou pour le cinéphile l’occasion d’un coup d’œil sur le lieu de tournage des films de Claude Berri « Jean de Florette » et « Manon des Sources ». Ou pour ceux qui ont faim le Bistrot de Riboux. Bé oué. On est là pour ça. Maryvonne Santucci à l’accueil et au service. Suivant la saison chef Philippe Marco propose des entrées travaillées, des plats en sauce, du gibier, des pieds paquets. J’ai souvenir d’une mémorable « culotte d’agneau façon méchoui »: si elle vous passe devant, faudra pas la louper! Menu 26€ avec assiette végétale au filet de truite fumé. Poisson moins gras que le saumon, légumes en qualité qui ont joué de la mandoline, radis noir et concombre, mesclun frais et vinaigrette aux agrumes qui enchante. 14,5/20. Pour les appétits costauds comme celui de Mauricette, le poulet au curry fait l’affaire. Chair souple, sauce parfumée plus moutardée que crémée, tant mieux. 14/20. La mousse au chocolat fait le boulot à 13/20. Pour ma pomme, t-bone de veau sauce poivre finalement servie (on m’a prévenu) avec une sauce échalote. Je n’y perds pas au change et puis le gratin dauphinois est extra, bien assaisonné. Viande rosée positivement ferme. 22€ et 15/20. Magnifique assiette de fromage! « Belle comme la femme d’un autre » comme disait mon voisin dont on n’a jamais retrouvé le corps. Jolie taille du Conté, chèvre aux herbes de Provence, tome truffée et un Roquefort gras. Noix, confiture de figue, vas-y coco régale-toi la turbine! 8€ et 14,5/20 d’autant que le pain est bon. Terrasse panoramique sur le vert avec parfois des cerfs en hiver, salle au mobilier chiné de brocante avec coin salon et poêle à bois quand il fait froid. La maison dispense aussi un « accueil tourisme » avec épicerie, bar, possibilité de pétanque improvisée si vous avez les boules dans le coffre.
Rappliquez quand vous voulez mais téléphonez avant, c’est plus prudent. Car comme dit la dame au chapeau vert: « la virée vaut sacrément le voyage »!