L’Atelier de la viande restaurant Carnoules – Pour un bâtiment de ZI, c’est plutôt folichon de la déco à l’intérieur avec ses lumières chaudes, terrasse désertée ce midi. La serveuse visiblement dépassée par l’affluence fait ce qu’elle peut car les clients entrent et elle n’ose pas refuser. Elle garde le sourire malgré son stress, attendez, j’arrive, je vais voir si j’ai de la place. Du coup, elle me propose la mezzanine avec d’autres. Ça me va.
Le midi, une formule à 19,50€ avec le plat du jour, en l’occurrence un « chilli con carne » vendu 12€ seul et avec deux L pour le même tarif. Avec un tel sobriquet L’Atelier de la Viande au frontispice, le 1er reflexe est de zieuter la carte pour sonder le boucher. Curieusement, pas vraiment plus de viande qu’ailleurs, sauf dans les restos vegan. Tartare de bœuf au couteau 16€, tournedos Rossini 24€ (j’ai failli pour voir), deux burgers15€ et 18€, entrecôte 22€, côte de veau grillée 17€ et pièces du boucher 16€ et 20€ en XL. Je m’attendais à des plats viandards moins communs et plus spécifiques voire typiquement bouchers comme la pièce noire, merlan et poire, aloyau, filet de bœuf, Pour le reste saumon, rigatoni, gambas et un plat vegan (quand même). Les formules à 55€ (avec veau, magret entier qu’on ne trouve pas à la carte, pièce du boucher) et 60€ (côte de bœuf) pour deux personnes rattrapent le coup. Bref! La pièce du boucher Black Angus 180g est une bavette. Et puis d’un coup, une odeur de friture monte à l’étage quelque chose de violent, j’en ai plein la liquette et les chaussettes. Tous les clients se regardent, deux dames en apnée filent illico presto. Mon parfum d’eau de Cologne des années 70 s’efface, ne sert plus à rien. De toute façon j’ai faim et ne suis pas encore servi. L’assiette arrive avec coin salade verte mélangée, grosses frites fraiches marron trop chargées en eau et molles du colbac. Le bout de viande demandé « saignant » est visiblement bien travaillé de la cuisson: joliment grillé et d’un beau rouge spécifique à cœur. Il est curieusement prédécoupé en 4 morceaux. Pourquoi pas. Sauf que l’assiette est froide et que le pré-découpage n’arrange pas l’affaire. Et puis surtout la viande est dure, trop dure pour de la bavette saignante. Viande pas assez maturée, trop jeune. Un calvaire de la mâche. Oui, je sais: le cuisinier n’est pas dans la viande. On connait la musique. Il n’est pas dans les frites non plus. 11/20 et 16€.
Gloire au boulanger qui sait faire le pain. Rien d’autre, non merci. Pas de café dont le tarif n’est pas présenté. J’ai horreur des surprises. Sinon, ya de quoi faire un truc sympa dans le simple avec le concept et la serveuse volontaire. C’est tout? Oui.
L’Atelier de la viande restaurant Carnoules – Pour un bâtiment de ZI, c’est plutôt folichon de la déco à l’intérieur avec ses lumières chaudes, terrasse désertée ce midi. La serveuse visiblement dépassée par l’affluence fait ce qu’elle peut car les clients entrent et elle n’ose pas refuser. Elle garde le sourire malgré son stress, attendez, j’arrive, je vais voir si j’ai de la place. Du coup, elle me propose la mezzanine avec d’autres. Ça me va.
Le midi, une formule à 19,50€ avec le plat du jour, en l’occurrence un « chilli con carne » vendu 12€ seul et avec deux L pour le même tarif. Avec un tel sobriquet L’Atelier de la Viande au frontispice, le 1er reflexe est de zieuter la carte pour sonder le boucher. Curieusement, pas vraiment plus de viande qu’ailleurs, sauf dans les restos vegan. Tartare de bœuf au couteau 16€, tournedos Rossini 24€ (j’ai failli pour voir), deux burgers15€ et 18€, entrecôte 22€, côte de veau grillée 17€ et pièces du boucher 16€ et 20€ en XL. Je m’attendais à des plats viandards moins communs et plus spécifiques voire typiquement bouchers comme la pièce noire, merlan et poire, aloyau, filet de bœuf, Pour le reste saumon, rigatoni, gambas et un plat vegan (quand même). Les formules à 55€ (avec veau, magret entier qu’on ne trouve pas à la carte, pièce du boucher) et 60€ (côte de bœuf) pour deux personnes rattrapent le coup. Bref! La pièce du boucher Black Angus 180g est une bavette. Et puis d’un coup, une odeur de friture monte à l’étage quelque chose de violent, j’en ai plein la liquette et les chaussettes. Tous les clients se regardent, deux dames en apnée filent illico presto. Mon parfum d’eau de Cologne des années 70 s’efface, ne sert plus à rien. De toute façon j’ai faim et ne suis pas encore servi. L’assiette arrive avec coin salade verte mélangée, grosses frites fraiches marron trop chargées en eau et molles du colbac. Le bout de viande demandé « saignant » est visiblement bien travaillé de la cuisson: joliment grillé et d’un beau rouge spécifique à cœur. Il est curieusement prédécoupé en 4 morceaux. Pourquoi pas. Sauf que l’assiette est froide et que le pré-découpage n’arrange pas l’affaire. Et puis surtout la viande est dure, trop dure pour de la bavette saignante. Viande pas assez maturée, trop jeune. Un calvaire de la mâche. Oui, je sais: le cuisinier n’est pas dans la viande. On connait la musique. Il n’est pas dans les frites non plus. 11/20 et 16€.
Gloire au boulanger qui sait faire le pain. Rien d’autre, non merci. Pas de café dont le tarif n’est pas présenté. J’ai horreur des surprises. Sinon, ya de quoi faire un truc sympa dans le simple avec le concept et la serveuse volontaire. C’est tout? Oui.