La Villa Dolce restaurant Draguignan – Ils ont réunis leurs quatre volontés à deux. Puis retroussé leurs manches pour prendre leur affaire à eux, (re)mis en vie l’adresse posée du côté du Col de l’Ange à la sortie de Draguignan. Mes petits canetons mignons, voici une des plus belles choses qui soit arrivée à la ville depuis longtemps dans ce type de cuisine raffinée qui vous bichonne la carafe!
Le tout récent quadra Alexandre Randazzo (c’est lui) y réalise une cuisine inspirée et toute personnelle. Je sais qu’il bouillonne, se réveille la nuit pour transcrire noir sur blanc ses idées de recettes. Comme il n’est pas issu du sérail de la sauce et du fumet, qu’il n’a pas fait une grande école de cuisine, n’est pas fils de machin ni disciple de truc, il a fait les poches de chefs au turbin notamment du côté de Saint-Tropez en commençant par le début: éplucher carottes et topinambours des jours durant. Oui m’sieur-dame, la cuisine en vrai n’est pas comme à la télé dans Top-Chef. Bref! Le voici avec sa compagne Charlène Balmajou à nous goberger la pastèque avec des recettes créatives qui tiennent bien la croûte! En ce moment: carpaccio de magret et filet mignon, salé/fumé par nos soins; St-Jacques saisies à la flamme, velouté de céleri; encornets à la provençale façon Villa Dolce; endives fumées et braisées, polenta crémeuse au romarin; linguine guanciale/crème de morilles; filet de bœuf, écrasé de pomme de terre monté au foie gras. Végétariens choyés, viandards veinards! Fallait donc que je fasse mon marché dans ce panier à réjouissances! Début avec œuf parfait sur fondue de poireaux, tuile de grana padano. Jolie assiette creuse pour une idée classique qui n’a plus de compte à rendre. Le chef la réveille, le végétal (germes) calme l’ardeur du beurre. Œuf froid, fondue tiède à déguster à genoux: 15,5/20 et 12€. Encornets farcis à la ricotta et lentilles vertes, crème de fenouil, pommes grenaille. 4 ou 5 petits calamars comme des biscuits délicieusement farcis, ils trempouillent sans tentacules dans une légère sauce crémée au fenouil, en douceur. Malin: les tentacules, on les retrouve snackées et posées sur les patates gourmandes servies à part! Du free-style pas commun, bravo! 23€ pour 15,5/20.
Classique et innovant: le chef sait embarquer dans des compositions parfois un peu perchées ou culottées. J’aime les cuisiniers qui se fabriquent leur propre univers! L’accueil et le service affichent une attention sincère et sans manière, sait conseiller y compris pour les flacons. Bref! A vous de compléter l’histoire! En salle ou en terrasse! En été comme en hiver! Mais le plus souvent que vous pourrez!
La Villa Dolce restaurant Draguignan – Ils ont réunis leurs quatre volontés à deux. Puis retroussé leurs manches pour prendre leur affaire à eux, (re)mis en vie l’adresse posée du côté du Col de l’Ange à la sortie de Draguignan. Mes petits canetons mignons, voici une des plus belles choses qui soit arrivée à la ville depuis longtemps dans ce type de cuisine raffinée qui vous bichonne la carafe!
Le tout récent quadra Alexandre Randazzo (c’est lui) y réalise une cuisine inspirée et toute personnelle. Je sais qu’il bouillonne, se réveille la nuit pour transcrire noir sur blanc ses idées de recettes. Comme il n’est pas issu du sérail de la sauce et du fumet, qu’il n’a pas fait une grande école de cuisine, n’est pas fils de machin ni disciple de truc, il a fait les poches de chefs au turbin notamment du côté de Saint-Tropez en commençant par le début: éplucher carottes et topinambours des jours durant. Oui m’sieur-dame, la cuisine en vrai n’est pas comme à la télé dans Top-Chef. Bref! Le voici avec sa compagne Charlène Balmajou à nous goberger la pastèque avec des recettes créatives qui tiennent bien la croûte! En ce moment: carpaccio de magret et filet mignon, salé/fumé par nos soins; St-Jacques saisies à la flamme, velouté de céleri; encornets à la provençale façon Villa Dolce; endives fumées et braisées, polenta crémeuse au romarin; linguine guanciale/crème de morilles; filet de bœuf, écrasé de pomme de terre monté au foie gras. Végétariens choyés, viandards veinards! Fallait donc que je fasse mon marché dans ce panier à réjouissances! Début avec œuf parfait sur fondue de poireaux, tuile de grana padano. Jolie assiette creuse pour une idée classique qui n’a plus de compte à rendre. Le chef la réveille, le végétal (germes) calme l’ardeur du beurre. Œuf froid, fondue tiède à déguster à genoux: 15,5/20 et 12€. Encornets farcis à la ricotta et lentilles vertes, crème de fenouil, pommes grenaille. 4 ou 5 petits calamars comme des biscuits délicieusement farcis, ils trempouillent sans tentacules dans une légère sauce crémée au fenouil, en douceur. Malin: les tentacules, on les retrouve snackées et posées sur les patates gourmandes servies à part! Du free-style pas commun, bravo! 23€ pour 15,5/20.
Classique et innovant: le chef sait embarquer dans des compositions parfois un peu perchées ou culottées. J’aime les cuisiniers qui se fabriquent leur propre univers! L’accueil et le service affichent une attention sincère et sans manière, sait conseiller y compris pour les flacons. Bref! A vous de compléter l’histoire! En salle ou en terrasse! En été comme en hiver! Mais le plus souvent que vous pourrez!