La Cantine de Charlotte restaurant Six-Fours – Ce fut un fameux restaurant pakistanais, il avait le truc pour nous emmener loin avec ses saveurs d’ailleurs. Désormais, l’ex-Kennedy rebaptisé nous incite à rester à la maison. On fait aussi bien, je ne vois pas l’intérêt d’aller au restaurant pour manger de telles banalités sous traitées à l’industrie de la bouffe vendue sur catalogue.
Un « buffet à volonté » le midi, vrai qu’il en faut de la volonté avec les deux plats: « pâtes aux fruits de mer » et « merguez semoule épicée ». Dans un menu à 19,90€ ça fait chérot la cantoche. Alors carte pour moi. Salade chèvre/miel 13€, burgers 14€, tartare de saumon 14€, merguez X3 11€, camembert au four 14€, escalope crispy 15€, milanaise de dinde 14€, des planches… et puis mon fish and chips. En le voyant arriver de loin grâce à l’avenante serveuse, j’ai entendu mon médecin me faire les gros yeux. Frites fraiches de forme allumettes, mais des allumettes éteintes. Molles et gorgées d’huile. Pas la bonne variété de patate pour faire les frites: trop sucrées! A côté, un « poisson élaboré » comme causent les industriels, de type colin d’Alaska surgelé pré-pané fait en Asie du Sud-Est de type référence 54507 de Carigel. Les 90% de croûte huileuse renferment bien peu de miettes du poisson sec. Sauce sortie du pot. Salade verte fraiche dure comme du bambou arrosée d’une sorte de pesto défoliant qui vous refile une haleine de chien du désert. Un bout de citron d’occasion. 12€ n’est pas tellement cher, mais trop quand même vu que c’est pas bon. 8/20. A l’instar des boissons, les tarifs des desserts ne sont pas indiqués: comme moi, faite impasse quand les tarifs ne sont pas annoncés par écrit. Celui qui semble être le patron fait du public-relachionne en déroulant sa joviale gouaille dans le tour de la salle pendant le service. Un autre monsieur plus sobre est derrière le comptoir. La jeune serveuse obtempère aux deux qui donnent les consignes à voie haute. Les 3 m’ont tous demandés si « ça a été ». J’ai répondu oui, car ils sont bien conscients de se qu’ils servent. Et puis en cuisine, pas vue Charlotte dans sa cantine. Juste du personnel avec des charlottes pour tenir la chevelure. Mini-kleenex pour la moustache, pain faiblard, café amer…
Bilan de l’expérience: du faux discount de bouffe annoncé comme du « fait maison » moins que médiocre. Ce qui est faux et confirmé par l’absence du logo officiel « fait maison » qui fait autorité en la matière, le reste n’est que blabla.
La Cantine de Charlotte restaurant Six-Fours – Ce fut un fameux restaurant pakistanais, il avait le truc pour nous emmener loin avec ses saveurs d’ailleurs. Désormais, l’ex-Kennedy rebaptisé nous incite à rester à la maison. On fait aussi bien, je ne vois pas l’intérêt d’aller au restaurant pour manger de telles banalités sous traitées à l’industrie de la bouffe vendue sur catalogue.
Un « buffet à volonté » le midi, vrai qu’il en faut de la volonté avec les deux plats: « pâtes aux fruits de mer » et « merguez semoule épicée ». Dans un menu à 19,90€ ça fait chérot la cantoche. Alors carte pour moi. Salade chèvre/miel 13€, burgers 14€, tartare de saumon 14€, merguez X3 11€, camembert au four 14€, escalope crispy 15€, milanaise de dinde 14€, des planches… et puis mon fish and chips. En le voyant arriver de loin grâce à l’avenante serveuse, j’ai entendu mon médecin me faire les gros yeux. Frites fraiches de forme allumettes, mais des allumettes éteintes. Molles et gorgées d’huile. Pas la bonne variété de patate pour faire les frites: trop sucrées! A côté, un « poisson élaboré » comme causent les industriels, de type colin d’Alaska surgelé pré-pané fait en Asie du Sud-Est de type référence 54507 de Carigel. Les 90% de croûte huileuse renferment bien peu de miettes du poisson sec. Sauce sortie du pot. Salade verte fraiche dure comme du bambou arrosée d’une sorte de pesto défoliant qui vous refile une haleine de chien du désert. Un bout de citron d’occasion. 12€ n’est pas tellement cher, mais trop quand même vu que c’est pas bon. 8/20. A l’instar des boissons, les tarifs des desserts ne sont pas indiqués: comme moi, faite impasse quand les tarifs ne sont pas annoncés par écrit. Celui qui semble être le patron fait du public-relachionne en déroulant sa joviale gouaille dans le tour de la salle pendant le service. Un autre monsieur plus sobre est derrière le comptoir. La jeune serveuse obtempère aux deux qui donnent les consignes à voie haute. Les 3 m’ont tous demandés si « ça a été ». J’ai répondu oui, car ils sont bien conscients de se qu’ils servent. Et puis en cuisine, pas vue Charlotte dans sa cantine. Juste du personnel avec des charlottes pour tenir la chevelure. Mini-kleenex pour la moustache, pain faiblard, café amer…
Bilan de l’expérience: du faux discount de bouffe annoncé comme du « fait maison » moins que médiocre. Ce qui est faux et confirmé par l’absence du logo officiel « fait maison » qui fait autorité en la matière, le reste n’est que blabla.