Il Mio restaurant Aubagne – Remplace je ne sais quel prédécesseur depuis je ne sais quand. Ah si! Ça me revient: peut-être une crêperie, allez savoir. Il fait très chaud de la météo alors s’empaler l’appétit avec une roborative cuisine italienne peu réputée pour sa légèreté pourquoi pas, mais laquelle? Je le dis sans détour, celle-ci vaut le détour. Une vingtaine de plats sur carte papier secondée par une ardoise de suggestions. Des viandes dès 17€, des pâtes dès 16€ et les suggestions grimpent à 25€. Parmi elles, « fricassée de seiches en persillade » que j’ai failli. Coiffée sur le poteau par rognons de veau en persillade, ravioli frits.
M’arrive l’assiette fièrement portée par la patronne. Assiette un peu froide, dommage. Va falloir accélérer le pas du coup de fourchette: je n’aime pas ça. Dedans, de beaux ravioli à la brousse poêlés, du balsamique utile, straciatella planquée dessous avec concassée de tomate travaillé, et les rognons rosés bien marqués. Persillade douce en ail. L’assiette joue le registre de la fausse confusion comme une illusion d’insouciance! Mais la maitrise est de mise! Pensé pas comme dans un bouquin de cuisine structurée avec des photos en couleurs sur papier glacé, plutôt un exercice de l’instant et d’instinct. La signature d’un cuisinier dont je ne vois pas la tête car l’ouverture du passe-plat est un peu basse, il virevolte, mouline dru à l’ouvrage! Faut dire que la terrasse planquée derrière est bien remplie, et la salle un peu aussi. Bref! Une cuisine de cuisinier au poil et à la poêle aussi! A l’italienne quoi! Mes rognons? 15/20 et 22€. Desserts de cuisinier de 6,9€ à 10€ peu nécessaire à mon appétit saturé. Ambiance amusante avec l’enjouée quadra de patronne, un jovial croisement d’Aubagne et d’Italie dans son attitude. Elle n’a cesse d’ouvertement se chamailler avec sa mère qui « rend service » en salle, elle-même ronchonne après sa fille dans l’oreille du client amusé. Tout le monde est servi, le cuisinier sort.
Ah tiens? Je le reconnais. Frédérik Jacob est un sacré bon chef fréquenté du côté d’Aix (Côté Jardin) au début des années 2000, puis pour son compte à Vitrolles (Le Cabanon de Marthe) et enfin Gémenos. Le voici ici à faire des heureux comme employé à Il Mio. Suivez ce type, tapez ses nom et prénom sur Google pour ne pas le perdre de vue si vous aimez vous régaler.
Il Mio restaurant Aubagne – Remplace je ne sais quel prédécesseur depuis je ne sais quand. Ah si! Ça me revient: peut-être une crêperie, allez savoir. Il fait très chaud de la météo alors s’empaler l’appétit avec une roborative cuisine italienne peu réputée pour sa légèreté pourquoi pas, mais laquelle? Je le dis sans détour, celle-ci vaut le détour. Une vingtaine de plats sur carte papier secondée par une ardoise de suggestions. Des viandes dès 17€, des pâtes dès 16€ et les suggestions grimpent à 25€. Parmi elles, « fricassée de seiches en persillade » que j’ai failli. Coiffée sur le poteau par rognons de veau en persillade, ravioli frits.
M’arrive l’assiette fièrement portée par la patronne. Assiette un peu froide, dommage. Va falloir accélérer le pas du coup de fourchette: je n’aime pas ça. Dedans, de beaux ravioli à la brousse poêlés, du balsamique utile, straciatella planquée dessous avec concassée de tomate travaillé, et les rognons rosés bien marqués. Persillade douce en ail. L’assiette joue le registre de la fausse confusion comme une illusion d’insouciance! Mais la maitrise est de mise! Pensé pas comme dans un bouquin de cuisine structurée avec des photos en couleurs sur papier glacé, plutôt un exercice de l’instant et d’instinct. La signature d’un cuisinier dont je ne vois pas la tête car l’ouverture du passe-plat est un peu basse, il virevolte, mouline dru à l’ouvrage! Faut dire que la terrasse planquée derrière est bien remplie, et la salle un peu aussi. Bref! Une cuisine de cuisinier au poil et à la poêle aussi! A l’italienne quoi! Mes rognons? 15/20 et 22€. Desserts de cuisinier de 6,9€ à 10€ peu nécessaire à mon appétit saturé. Ambiance amusante avec l’enjouée quadra de patronne, un jovial croisement d’Aubagne et d’Italie dans son attitude. Elle n’a cesse d’ouvertement se chamailler avec sa mère qui « rend service » en salle, elle-même ronchonne après sa fille dans l’oreille du client amusé. Tout le monde est servi, le cuisinier sort.
Ah tiens? Je le reconnais. Frédérik Jacob est un sacré bon chef fréquenté du côté d’Aix (Côté Jardin) au début des années 2000, puis pour son compte à Vitrolles (Le Cabanon de Marthe) et enfin Gémenos. Le voici ici à faire des heureux comme employé à Il Mio. Suivez ce type, tapez ses nom et prénom sur Google pour ne pas le perdre de vue si vous aimez vous régaler.