Crêperie Kerliza restaurant La Garde – Rien n’a vraiment changé depuis la dernière fois où nous y avions trempé nos bacchantes amoureuses de la spécialité bretonne. C’est drôle comme autour, les enseignes de quoi que ce soit et tapageuses virent, dégagent, changent parfois de proprio comme moi de chemises, pas tous les jours quand même mais presque. Un rapport au temps rassurant pour Kerliza.
Un changement de propriétaire plutôt récent, 2019 je crois, et resté dans la famille si j’ai bien compris. Ce qui est bien avec le nouveau, c’est qu’il n’a pas dégagé d’un revers de la main le passé, est entré dans les pantoufles des anciens proprios. Alors même si le service est visiblement blasé voire en pilote automatique dans son déroulé de zombis, l’accueil fut aimable et les galettes conformes à ce qu’on en attend. Sinon le sobriquet de « la complète » remplacé ici par « la kaourintin », prénom breton. Enfin bon. Pas de chichi, galette pliée en 4 sans rien d’autre qui pollue fréquemment une bienveillante simplicité, ni salade verte, ni grains de maïs, ni quartier de tomate, ni balsamique, ni olives, ni cornichons, juste l’essentiel mes petits cochons. J’oublie le bout de beurre demi-sel, dessus: la galette point barre. Bien, 14/20 et 9€. Avec une bolée de cidre convenable à 3,4€, on s’y croirait.
Une crêperie sérieuse et sûre de son propos, imperturbable dans le temps et les éléments tel le phare du Creac’h sur l’ile d’Ouessant. Mais pour le sentiment et la sympathie, faudra voir ailleurs tout en évitant les nullités communes qui encombrent le paysage de la spécialité.
Crêperie Kerliza restaurant La Garde – Rien n’a vraiment changé depuis la dernière fois où nous y avions trempé nos bacchantes amoureuses de la spécialité bretonne. C’est drôle comme autour, les enseignes de quoi que ce soit et tapageuses virent, dégagent, changent parfois de proprio comme moi de chemises, pas tous les jours quand même mais presque. Un rapport au temps rassurant pour Kerliza.
Un changement de propriétaire plutôt récent, 2019 je crois, et resté dans la famille si j’ai bien compris. Ce qui est bien avec le nouveau, c’est qu’il n’a pas dégagé d’un revers de la main le passé, est entré dans les pantoufles des anciens proprios. Alors même si le service est visiblement blasé voire en pilote automatique dans son déroulé de zombis, l’accueil fut aimable et les galettes conformes à ce qu’on en attend. Sinon le sobriquet de « la complète » remplacé ici par « la kaourintin », prénom breton. Enfin bon. Pas de chichi, galette pliée en 4 sans rien d’autre qui pollue fréquemment une bienveillante simplicité, ni salade verte, ni grains de maïs, ni quartier de tomate, ni balsamique, ni olives, ni cornichons, juste l’essentiel mes petits cochons. J’oublie le bout de beurre demi-sel, dessus: la galette point barre. Bien, 14/20 et 9€. Avec une bolée de cidre convenable à 3,4€, on s’y croirait.
Une crêperie sérieuse et sûre de son propos, imperturbable dans le temps et les éléments tel le phare du Creac’h sur l’ile d’Ouessant. Mais pour le sentiment et la sympathie, faudra voir ailleurs tout en évitant les nullités communes qui encombrent le paysage de la spécialité.