Aix&Terra restaurant à Miramas – Pas mécontent de la pêche du jour vu que le village des marques MacArthurGlen est bien peu propice à bonne affaire d’assiettes! Nouveau dans le panorama, Aix&Terra fait l’original dans ce contexte consumériste un peu niais. C’est bon, le personnel vous salue à l’arrivée, il est peu radin en sourires malgré la distance à parcourir pour livrer les assiettes. Car le lieu en impose: 500 m2. Quel espace! A voir même si vous n’y mangez pas!
Bâtiment historique en jachère jusqu’à sa reprise en main par des investisseurs, un ancien hara car ici avant, c’était la campagne. Lieu remis en vie en modernité et clarté, bravo. Cuisine ouverte. On mange quoi? Si la direction possède d’autres adresses où manger, la prudence est ici visiblement de mise avec une carte des plats qui tâte le terrain: à peine un mois d’ouverture au moment de notre test. Des planches de 7,5€ à 25,5€ qui comme les plats, offrent l’avantage de se frotter à la production épicière de la direction: tomates séchées, crème d’artichaut, caviar d’aubergine, tapenades, poivronade etc. Un tas de ravioles de 16€ à 19,5€ (Saint-Jean, Romans), 3 entrées et 4 plats avec un choix végétarien à chaque niveau. La maison appuie sur le bio de ses produits intégrés pour sortir des assiettes cuisinées. Par exemple, l’agréable salade César. Mauricette a beaucoup aimé la fraicheur de la salade romaine émincée, l’œuf mollet, l’oignon rouge, les mini croutons et la générosité en parmesan. Poulet pané de corn flakes, mieux qu’ailleurs. La sauce? Digression de la recette de la sauce historique sans prévenir avec la crème de parmesan au citron de Menton, production de la maison en vente dans les rayons de l’épicerie. Un peu curieux mais pas désagréable. 14/20 et 19,50€… pas donné quand même! Du cuisiné avec la suggestion du moment: cuisse de pintade rôtie sauce curry, polenta et poichichade au piment. Joli dressage à partir de pas grand-chose, très propre. Bonne viande grassouillette, ce qu’on attend de la pintade quoi. Crème douce en curry, pas assez chaude. Un parallélépipède de polenta taillé au cordeau décoré d’une quenelle de la tonique poichichade, production de la maison et en vente dans les rayons de l’épicerie elle aussi. Oui, encore. 21,5€ et 14,5/20. Service volontaire, pas facile d’avoir du rythme avec 3 tables à servir quand la boutique en contient plus d’une centaine.
Bref! Oui pour une visite du lieu à voir, pour manger éventuellement. Un fabricant de produits alimentaires qui ouvre un restaurant, pourquoi pas? Mais vendre à de tels tarifs des assiettes faites d’assemblage au moins partiel, fut-il de qualité, est-ce vraiment un restaurant ou bien un endroit où l’on mange?
Aix&Terra restaurant à Miramas – Pas mécontent de la pêche du jour vu que le village des marques MacArthurGlen est bien peu propice à bonne affaire d’assiettes! Nouveau dans le panorama, Aix&Terra fait l’original dans ce contexte consumériste un peu niais. C’est bon, le personnel vous salue à l’arrivée, il est peu radin en sourires malgré la distance à parcourir pour livrer les assiettes. Car le lieu en impose: 500 m2. Quel espace! A voir même si vous n’y mangez pas!
Bâtiment historique en jachère jusqu’à sa reprise en main par des investisseurs, un ancien hara car ici avant, c’était la campagne. Lieu remis en vie en modernité et clarté, bravo. Cuisine ouverte. On mange quoi? Si la direction possède d’autres adresses où manger, la prudence est ici visiblement de mise avec une carte des plats qui tâte le terrain: à peine un mois d’ouverture au moment de notre test. Des planches de 7,5€ à 25,5€ qui comme les plats, offrent l’avantage de se frotter à la production épicière de la direction: tomates séchées, crème d’artichaut, caviar d’aubergine, tapenades, poivronade etc. Un tas de ravioles de 16€ à 19,5€ (Saint-Jean, Romans), 3 entrées et 4 plats avec un choix végétarien à chaque niveau. La maison appuie sur le bio de ses produits intégrés pour sortir des assiettes cuisinées. Par exemple, l’agréable salade César. Mauricette a beaucoup aimé la fraicheur de la salade romaine émincée, l’œuf mollet, l’oignon rouge, les mini croutons et la générosité en parmesan. Poulet pané de corn flakes, mieux qu’ailleurs. La sauce? Digression de la recette de la sauce historique sans prévenir avec la crème de parmesan au citron de Menton, production de la maison en vente dans les rayons de l’épicerie. Un peu curieux mais pas désagréable. 14/20 et 19,50€… pas donné quand même! Du cuisiné avec la suggestion du moment: cuisse de pintade rôtie sauce curry, polenta et poichichade au piment. Joli dressage à partir de pas grand-chose, très propre. Bonne viande grassouillette, ce qu’on attend de la pintade quoi. Crème douce en curry, pas assez chaude. Un parallélépipède de polenta taillé au cordeau décoré d’une quenelle de la tonique poichichade, production de la maison et en vente dans les rayons de l’épicerie elle aussi. Oui, encore. 21,5€ et 14,5/20. Service volontaire, pas facile d’avoir du rythme avec 3 tables à servir quand la boutique en contient plus d’une centaine.
Bref! Oui pour une visite du lieu à voir, pour manger éventuellement. Un fabricant de produits alimentaires qui ouvre un restaurant, pourquoi pas? Mais vendre à de tels tarifs des assiettes faites d’assemblage au moins partiel, fut-il de qualité, est-ce vraiment un restaurant ou bien un endroit où l’on mange?