Ce n’est pas trahir l’historique culture du papier ancrée dans nos gênes, ni nos lecteurs abonnés ou occasionnels compulseurs des pages informatives de notre guide trimestriel que de le répéter: Le Bouche à Oreille existe sur Internet depuis octobre 2000. De fait, il est le 1er guide de restaurants paru en France sur le oueb. « A jamais les premiers » comme dit l’autre.

Nombre de lecteurs et de restaurateurs ignorent que Google apprécie notre travail. 23 ans d’archives, quantité croissante de visites grâce à nos réso-socios Facebook et Instagram, niouzletter gratuite chaque semaine pour les abonnés du site, et ce que les experts du numérique nomment des « liens entrants et sortants » en grand nombre. Voilà l’explication technique de l’apport conséquent de clients aux bons restaurants référencés: Internet, les réseaux sociaux et désormais accessoirement, le guide trimestriel en version papier depuis 1990. Le Bouche à Oreille draine des clients aux bonnes tables, tout en égayant le panorama parfois tristounet de la gamelle. Si nécessaire en épinglant les mauvais restaurants, et les communicants parfois autoproclamés « journalistes », poissons-pilote des chefs en particulier. Comprendront-ils un jour la différence entre information et publicité?

Pourquoi notre travail apporte des clients aux bons restaurants? Parce les clients cherchent. Nos « bonnes tables, les mauvaises et celles à éviter » s’affichent de façon naturelle en 1ère page du moteur de recherche Google (et d’autres). Par exemple, au moment où je vous cause: si vous tapez « Mordu Draguignan » sur Google, la page Bouche à Oreille de ce restaurant est deuxième! Loin devant les Pages Jaunes, Le Petit Futé, TripAdvisor et d’autres! Pour la « brasserie Ferrero à Lamanon » Le Bouche à Oreille est 3ème! 4ème pour le « bistrot du potager » à Salon! 3ème pour le « restaurant des Maures à Collobrières »! 4ème pour « l’Estable à Garéoult »! 4 ème pour « Plein Sud » au Pradet! Les mauvaises tables se retrouvent tout autant en 1ère page, mais pas sûr que cela soit à leur avantage! Bref! Pas mal non pour un petit guide rigolard qui a accroché son wagon au train du numérique avant tous ses confrères de la critique de la sauce et du fumet?

Autrement dit, plus que jamais Le Bouche à Oreille fait référence pour l’amateur de restaurants… puisque les visites sur les pages de notre site augmentent! Connaissez-vous beaucoup de mauvais restaurants où le client connaisseur revient? Non? C’est pareil pour les sites oueb: quand c’est mauvais, on file ailleurs. Quelques restaurateurs positivement référencés par nos services nous confient même que Le Bouche à Oreille draine 30% des nouveaux clients dans leur restaurant. Et sans remise tarifaire pour le client contrairement aux sites racketteurs! Qui dit mieux?

Olivier Gros