L’Autrefois restaurant Salon-de-Provence – De dehors on ne s’en doute pas. Porte poussée, c’est pas la même limonade. La belle « salle à manger » est truffée de clients visiblement ravis qui rient ou sourient en se léchant les badigoinces, tous mangent un peu beaucoup passionnément mais jamais « pas du tout ». L’idée de gourmand d’Olivier Maréchal fait carton plein et assiettes pleines. Les deux font souvent paire sauf que là mes biens chers frères, ce « buffet à volonté » ambitionne une qualité de recettes tip-top avec un chef qui en a dans la cartouchière. Le triomphe de la méthode et du talent. Ce qui fait de « L’Autrefois » une notable exception dans le médiocre monde des « buffets à volonté ».
Comment? Une équipe de (véritables) cuisiniers s’acharne et se renouvelle au quotidien avec une volonté de véritable « fait maison ». C’est drôle, on a plutôt l’habitude de retrouver cette qualité de gamelle sur les petites tables, les affaires de couple, par exemple. Bref! Ce midi, buffet d’entrées avec poulpe mangue/piment, avocat/pois chiches ou tomate/pesto. Terrine de cochon maison (hé oui!), tortillas poivrons, salade lentilles/jambon, pâtes à l’italienne, flan de thon, muffin tomate/olive mais ça dépend des jours vu qu’hier c’était panacotta chou-fleur/saumon/noisette ou crème de chou-fleur, roulé jambon/fromage et bonbon de thon! 15/20. Les plats cuisinés patientent à bonne température dans de grosses cocottes en fonte. Comme chez mémé le dimanche, on soulève le couvercle pour les gardiane de taureau, colombo d’agneau, émincé de volaille sauce tomatée. Patates grenailles cuisinées et linguines pour garnitures. Je vous déconseille de manger à la hussarde, sinon vous n’irez pas au bout du chemin. Attendez, c’est pas fini! Côté « poisson » l’amateur du genre appréciera le Parmentier de morue à la patate douce ou les moules marinières. Garnitures? Gratin et achard de légumes. 15/20 au global, le détail serait laborieux. Hommage au plateau de fromages sans supplément, et au buffet de desserts bien garni! De derrière mon stylo j’en observe parmi vous faire une moue dubitative de blasés qui ne croient plus en rien. Pourtant tout est fabriqué sur place: éclair au chocolat, mousse du même bois, salade de fruits, entremet passion/chocolat et une tarte aux myrtilles à vous déboulonner le champignon. 15/20 toujours. Pas mal non? Explication de la remarquable performance: le patron donne la ligne, le chef cultivé et créatif au quotidien donne le cap, un second fin saucier magicien, un véritable pâtissier qui fait son métier.
Ne pas éluder le rôle du service, il slalome entre les tables en dispensant boissons et sourires, il vous accompagne. Cherchez pas, on appelle ça un restaurant et en plus, la décoration « Belle Epoque » de « L’Autrefois » en ajoute au plaisir du moment. Ah oui! Important: pour bénéficier du choix optimum de plats mitonnés le midi, arrivez avant 12h30. Car vous n’êtes pas les seuls à connaitre le bon plan.
L’Autrefois restaurant Salon-de-Provence – De dehors on ne s’en doute pas. Porte poussée, c’est pas la même limonade. La belle « salle à manger » est truffée de clients visiblement ravis qui rient ou sourient en se léchant les badigoinces, tous mangent un peu beaucoup passionnément mais jamais « pas du tout ». L’idée de gourmand d’Olivier Maréchal fait carton plein et assiettes pleines. Les deux font souvent paire sauf que là mes biens chers frères, ce « buffet à volonté » ambitionne une qualité de recettes tip-top avec un chef qui en a dans la cartouchière. Le triomphe de la méthode et du talent. Ce qui fait de « L’Autrefois » une notable exception dans le médiocre monde des « buffets à volonté ».
Comment? Une équipe de (véritables) cuisiniers s’acharne et se renouvelle au quotidien avec une volonté de véritable « fait maison ». C’est drôle, on a plutôt l’habitude de retrouver cette qualité de gamelle sur les petites tables, les affaires de couple, par exemple. Bref! Ce midi, buffet d’entrées avec poulpe mangue/piment, avocat/pois chiches ou tomate/pesto. Terrine de cochon maison (hé oui!), tortillas poivrons, salade lentilles/jambon, pâtes à l’italienne, flan de thon, muffin tomate/olive mais ça dépend des jours vu qu’hier c’était panacotta chou-fleur/saumon/noisette ou crème de chou-fleur, roulé jambon/fromage et bonbon de thon! 15/20. Les plats cuisinés patientent à bonne température dans de grosses cocottes en fonte. Comme chez mémé le dimanche, on soulève le couvercle pour les gardiane de taureau, colombo d’agneau, émincé de volaille sauce tomatée. Patates grenailles cuisinées et linguines pour garnitures. Je vous déconseille de manger à la hussarde, sinon vous n’irez pas au bout du chemin. Attendez, c’est pas fini! Côté « poisson » l’amateur du genre appréciera le Parmentier de morue à la patate douce ou les moules marinières. Garnitures? Gratin et achard de légumes. 15/20 au global, le détail serait laborieux. Hommage au plateau de fromages sans supplément, et au buffet de desserts bien garni! De derrière mon stylo j’en observe parmi vous faire une moue dubitative de blasés qui ne croient plus en rien. Pourtant tout est fabriqué sur place: éclair au chocolat, mousse du même bois, salade de fruits, entremet passion/chocolat et une tarte aux myrtilles à vous déboulonner le champignon. 15/20 toujours. Pas mal non? Explication de la remarquable performance: le patron donne la ligne, le chef cultivé et créatif au quotidien donne le cap, un second fin saucier magicien, un véritable pâtissier qui fait son métier.
Ne pas éluder le rôle du service, il slalome entre les tables en dispensant boissons et sourires, il vous accompagne. Cherchez pas, on appelle ça un restaurant et en plus, la décoration « Belle Epoque » de « L’Autrefois » en ajoute au plaisir du moment. Ah oui! Important: pour bénéficier du choix optimum de plats mitonnés le midi, arrivez avant 12h30. Car vous n’êtes pas les seuls à connaitre le bon plan.