Ristorante Marina restaurant Toulon – Pas le seul de la ville à nous chuinter la cuisine italienne. Comme s’il suffisait de brailler l’AOC pour qu’elle soit réalité. Lui est sur le port, au bout côté arsenal.
L’accueil est sans histoire, laisse le choix de son installation au client. Une quinzaine de pizzas de 11,50€ à 16,90€. Des entrées de 8,50€ (burrata) à 17,50€ (salade de poulpe à l’italienne) avec des charcuteries à partager (ou pas). Une avalanche (17) de pâtes fraiches maison de 13,90€ à 19,50€. Je pioche parmi la dizaine de plats proposés le veau à la sarde qui précise escalope de veau, aubergines, sauce tomate, mozzarella, le tout gratiné au four, accompagnement pâte fraiche maison. Bon point: même un peu duraille, l’escalope de veau est visiblement colorée par une poêle. Dessus, un coulis de tomate, une tranche d’aubergine cuite à l’eau coupée en longueur avec trop de graines. Et pour fignoler, de la mozza de pizzaiolo en carton pas bonne, déjà refroidie et figée. Peu intéressant, encore moins excitant d’autant que les pâtes fusilli (les tortillons en spirale) servies pourtant annoncées « maison » (j’en doute) ne sont pas bonnes, flotteuses pour cause de baignade prolongée. Le cuisinier a jugé bon de balancer dessus de l’ail blanc, sans prévenir. Bol de salade avec estragon. 11/20 et 18,50€. J’attends 15 minutes qu’on vienne me demander « si je désire autre chose », trop long, j’aurais pris un café. Mais non.
Sinon le service en binôme fait le job, déroule un peu blasé mais dans les convenances du lieu style petite brasserie, sans trop en faire ni se poser trop de question. Ah tiens? Le patron-cuisinier sort de son fond de cale, vient saluer de ses relations en salle, fait des bises aux amis, passe devant l’étranger sans le regarder et encore moins le saluer, comme ça se fait dans beaucoup de civilisations avancées. Passqueu Toulooon!
Ristorante Marina restaurant Toulon – Pas le seul de la ville à nous chuinter la cuisine italienne. Comme s’il suffisait de brailler l’AOC pour qu’elle soit réalité. Lui est sur le port, au bout côté arsenal.
L’accueil est sans histoire, laisse le choix de son installation au client. Une quinzaine de pizzas de 11,50€ à 16,90€. Des entrées de 8,50€ (burrata) à 17,50€ (salade de poulpe à l’italienne) avec des charcuteries à partager (ou pas). Une avalanche (17) de pâtes fraiches maison de 13,90€ à 19,50€. Je pioche parmi la dizaine de plats proposés le veau à la sarde qui précise escalope de veau, aubergines, sauce tomate, mozzarella, le tout gratiné au four, accompagnement pâte fraiche maison. Bon point: même un peu duraille, l’escalope de veau est visiblement colorée par une poêle. Dessus, un coulis de tomate, une tranche d’aubergine cuite à l’eau coupée en longueur avec trop de graines. Et pour fignoler, de la mozza de pizzaiolo en carton pas bonne, déjà refroidie et figée. Peu intéressant, encore moins excitant d’autant que les pâtes fusilli (les tortillons en spirale) servies pourtant annoncées « maison » (j’en doute) ne sont pas bonnes, flotteuses pour cause de baignade prolongée. Le cuisinier a jugé bon de balancer dessus de l’ail blanc, sans prévenir. Bol de salade avec estragon. 11/20 et 18,50€. J’attends 15 minutes qu’on vienne me demander « si je désire autre chose », trop long, j’aurais pris un café. Mais non.
Sinon le service en binôme fait le job, déroule un peu blasé mais dans les convenances du lieu style petite brasserie, sans trop en faire ni se poser trop de question. Ah tiens? Le patron-cuisinier sort de son fond de cale, vient saluer de ses relations en salle, fait des bises aux amis, passe devant l’étranger sans le regarder et encore moins le saluer, comme ça se fait dans beaucoup de civilisations avancées. Passqueu Toulooon!