O’250 restaurant à Gémenos – Tiens donc? J’allais planter mes crocs ailleurs que je vois cette adresse (encore) rebaptisée! La valse n’arrête pas! Les nouveaux seraient dans les murs depuis début septembre 2022. L’accueil du binôme de serveuses est formidable, volontaire et métaphoriquement bras ouverts. Terrasse bien garnie de clients, les bureaux alentours n’attendaient que ça sinon c’est Buffalo Grill obligados (juste derrière) pour ceux qui viennent à pieds. Bref!

Prestation calibrée pour les midis de semaine avec une formule 16,90€ et un menu à 19,90€. Avec des pennes à la napolitaine comme plat du jour. Le set de table en papier vous informe « spécialités provençales et napolitaines ». Rien lu de provençal à boulotter. Et le plat du jour est la seule idée italienne de la carte! Pour le reste: andouillette/purée 19,90€, bavette sauce échalote/frites 20,90€, filet de bar à la plancha 20,90€, hamburger même pas italien 16€ et quand même, une escalope milanaise XL 330 grammes. Bon. Vous connaissez mon obsession pour cette spécialité si galvaudée au restaurant! Qui se résume parfois à des résidus de veau reconstitués en steak puis violemment décongelé avec sa croute de cornflakes direct dans la friteuse, une horreur. Celle-ci est infiniment plus amicale (c’est pas difficile non plus), copieuse. Elle est dure de la mache, non lubrifiée de matière grasse et encore moins de beurre mousseux. Elle ne donne pas envie, se fige dans un strict minimum syndical. Tout juste dans la moyenne de la chose. J’évite les frites proposées pour une purée maison: elle plombe le plat. Proprement cerclée et tiède et sans gras non plus (encore) elle date d’hier. Un peu d’huile jetée dessus pour masquer la mascarade mais pas trop non plus, ça coûte cher. Pour la manger et comme elle est tassée, je fais des tranchettes du bloc de purée comme du pâté: j’ai tout laissé! Un peu de salade avec des bricoles agréables, sauf le balsamique qui fait office de sauce. Pénible, pas fini non plus. Bref! 11/20 et 23€ quand même. Comme dit l’autre « c’est un peu peu ».

Les desserts sont vendus 6€, mais jamais je ne saurais si ça les vaut vu que je passe direct au café Folliet qui lui, vaut les 1,8€ demandés. Vous avez remarqué que désormais, quand un café est facturé moins de 2€, on le trouve « pas cher », on pense faire une affaire? Comme le gasoil sous les 2€, voyez? Pareil. Bref! La patronne sort de sa cuisine en grande prêtresse des lieux et encaisse à la caisse. Pas peu fière de son œuvre culinaire, elle me glisse dans un grand sourire de vendeur de photocopieurs des années 80 être italienne et de posséder un tas d’autres restaurants. Tant mieux pour elle.

- Table testée par Le Bouche à Oreille - 2022 1.5/5★ Ψ
Adresse
250 chemin du Château de Jouques
13420 GÉMENOS
Tél:09.70.66.76.58
Réseaux Sociaux :
Accueil:
15/20
Service:
15/20
Qualité/prix:
11/20
Cadre:
15/20
Pain:
ndividuel 14/20
Café:Folliet 1,8€
15/20
Thé:
Toilettes:
15,5/20
Vin:
Environnement:
Aux fourneaux
  • Chef : la dame à la caisse
Spécialités
  • provençales et napolitaines (parait-il)
Menus
  • Formule 16,90€ et menu 19,90€
  • Carte
  • Suggestions
Fermetures
  • Ouvert midi semaine
Plus…
  • Terrasse
Sur place et...
A emporter
Livraison
- Table testée par Le Bouche à Oreille - 2022 1.5/5★ Ψ
Adresse
250 chemin du Château de Jouques
13420 GÉMENOS
Tél:09.70.66.76.58
Réseaux Sociaux :
Accueil:
15/20
Service:
15/20
Qualité/prix:
11/20
Cadre:
15/20
Pain:
ndividuel 14/20
Café:Folliet 1,8€
15/20
Thé:
Toilettes:
15,5/20
Vin:
Environnement:
Aux fourneaux
  • Chef : la dame à la caisse
Spécialités
  • provençales et napolitaines (parait-il)
Menus
  • Formule 16,90€ et menu 19,90€
  • Carte
  • Suggestions
Fermetures
  • Ouvert midi semaine
Plus…
  • Terrasse
Sur place et...
A emporter
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O’250 restaurant à Gémenos – Tiens donc? J’allais planter mes crocs ailleurs que je vois cette adresse (encore) rebaptisée! La valse n’arrête pas! Les nouveaux seraient dans les murs depuis début septembre 2022. L’accueil du binôme de serveuses est formidable, volontaire et métaphoriquement bras ouverts. Terrasse bien garnie de clients, les bureaux alentours n’attendaient que ça sinon c’est Buffalo Grill obligados (juste derrière) pour ceux qui viennent à pieds. Bref!

Prestation calibrée pour les midis de semaine avec une formule 16,90€ et un menu à 19,90€. Avec des pennes à la napolitaine comme plat du jour. Le set de table en papier vous informe « spécialités provençales et napolitaines ». Rien lu de provençal à boulotter. Et le plat du jour est la seule idée italienne de la carte! Pour le reste: andouillette/purée 19,90€, bavette sauce échalote/frites 20,90€, filet de bar à la plancha 20,90€, hamburger même pas italien 16€ et quand même, une escalope milanaise XL 330 grammes. Bon. Vous connaissez mon obsession pour cette spécialité si galvaudée au restaurant! Qui se résume parfois à des résidus de veau reconstitués en steak puis violemment décongelé avec sa croute de cornflakes direct dans la friteuse, une horreur. Celle-ci est infiniment plus amicale (c’est pas difficile non plus), copieuse. Elle est dure de la mache, non lubrifiée de matière grasse et encore moins de beurre mousseux. Elle ne donne pas envie, se fige dans un strict minimum syndical. Tout juste dans la moyenne de la chose. J’évite les frites proposées pour une purée maison: elle plombe le plat. Proprement cerclée et tiède et sans gras non plus (encore) elle date d’hier. Un peu d’huile jetée dessus pour masquer la mascarade mais pas trop non plus, ça coûte cher. Pour la manger et comme elle est tassée, je fais des tranchettes du bloc de purée comme du pâté: j’ai tout laissé! Un peu de salade avec des bricoles agréables, sauf le balsamique qui fait office de sauce. Pénible, pas fini non plus. Bref! 11/20 et 23€ quand même. Comme dit l’autre « c’est un peu peu ».

Les desserts sont vendus 6€, mais jamais je ne saurais si ça les vaut vu que je passe direct au café Folliet qui lui, vaut les 1,8€ demandés. Vous avez remarqué que désormais, quand un café est facturé moins de 2€, on le trouve « pas cher », on pense faire une affaire? Comme le gasoil sous les 2€, voyez? Pareil. Bref! La patronne sort de sa cuisine en grande prêtresse des lieux et encaisse à la caisse. Pas peu fière de son œuvre culinaire, elle me glisse dans un grand sourire de vendeur de photocopieurs des années 80 être italienne et de posséder un tas d’autres restaurants. Tant mieux pour elle.